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Sourcier – radiesthésiste : quelle différence ?

Les personnes qui viennent en formation radiesthésiste au Centre de Formation de l’Ermitage se posent souvent la question. Le sourcier est un radiesthésiste qui ne va chercher que de l’eau. Le radiesthésiste a un champ d’action beaucoup plus large. Cet article a pour objectif de vous présenter la différence et les différents outils utilisés.

Formation géobiologie

Et l’eau jaillit : le travail du sourcier

Le sourcier a véritablement une seule fonction : celle de trouver de l’eau souterraine afin d’alimenter une maison ou une entreprise en eau. Le sourcier cherche donc des sources. Comment procède-t-il ? Il utilise traditionnellement la baguette dite de sourcier qui est en bois de noisetier afin de répondre à une contrainte physique (la mise sous tension) sans casser.

Le sourcier se déplace sur le terrain avec sa baguette et va chercher un ou plusieurs endroits sur lesquels sa baguette va basculer (en haut ou en bas), signe de la présence d’eau à son aplomb. Une fois qu’il a découvert la présence d’eau, il va chercher s’il s’agit d’un cours d’eau souterrain ou d’une nappe d’eau. Son travail se poursuit par la recherche de la profondeur et du débit. Ces deux derniers paramètres sont essentiels pour l’exploitation de l’eau souterraine car il faut non seulement savoir où creuser mais surtout à quelle profondeur et pour y trouver quelle quantité d’eau.

Le sourcier moderne peut y associer des baguettes en L qui vont lui permettre d’affiner ses recherches et de bien cibler la profondeur et le débit. Le sourcier moderne n’est pas qu’à la recherche de l’eau. Il s’agit souvent d’un entrepreneur qui va venir forer le sol et installer une arrivée d’eau directement exploitable par le propriétaire du terrain.

Avant de forer, il s’assure de ses résultats, questionner et requestionner les baguettes. Le taux de réussite, pour un professionnel, est très élevé et monte à bien plus de 95% de réussite.

Un champ d’action très vaste : la radiesthésie


Le sourcier est un radiesthésiste qui ne met à disposition ses compétences de recherche d’un taux vibratoire uniquement pour trouver de l’eau. Cet élément est déjà considérable mais le champ d’action de la radiesthésie est bien plus large et ne se limite pas à la seule recherche de l’eau.

Tout comme le sourcier, le radiesthésiste trouve son origine au plus loin que l’on puisse en trouver des traces avec des éléments dans l’Egypte ancienne par exemple et la découverte de pendules dans les tombeaux des rois. Voici ci-après quelques exemples d’utilisation possible du pendule. Comme cela va être indiqué, il n’y a qu’une seule limite à son utilisation : votre imagination.

L’analyse du taux vibratoire



Une chose importante lorsque l’on s’intéresse à l’énergie et/ou aux taux vibratoire des personnes et des objets, c’est leur niveau. La question sous-jacente à cette problématique est le commun « comment ça va » utilisé dans toutes les conversations. Le « comment ça va » du radiesthésiste va se mettre en place grâce à un pendule et le fameux cadran de Bovis. Ce cadran, exprimé en Angstrom (inspirée des travaux du physicien suédois Anders Jonas Angström), exprime la vitalité de la personne ou des choses.

Le point de départ du cadran est à 0 et correspond à la mort et va jusqu’à 18.000 pour le spirituel. La vibration d’un corps sain étant définie par son inventeur à 6.500 Unité Bovis (U.B.). Du fait de l’augmentation du niveau énergétique de la terre ou pour déterminer le taux de lieux sacrés, une nouvelle échelle de Bovis a été mise en place qui va jusqu’à 4.000.000 U.B.

Les recherches à distance

La radiesthésie dispose également d’un atout, et non des moindre : il a la même efficacité sur place qu’à distance. Le radiesthésiste peut donc faire ses différentes recherches en se déplaçant sur le lieu ou sur un plan, utilisé grâce à internet ou dessiné à main levée.

Cette recherche est par exemple très pratique pour la recherche d’eau (pour reprendre notre exemple ci-dessus du sourcier) sur un terrain (pour un agriculteur par exemple). Avec les baguettes de sourcier, il va vous falloir quadriller la parcelle de long en large, ce qui demande un temps important et une fatigue non négligeable. Le mieux est de préparer le travail avec un pendule sur plan afin de localiser les sources d’eau. Ce premier travail effectué, un passage sur le terrain va permettre de confirmer le positionnement, le débit, la profondeur…

Des applications immenses

Nous n’avons vu jusqu’ici que quelques applications possibles de la radiesthésie. Son champ d’intervention est beaucoup plus large. Touchant tous les éléments sur terre, les questions peuvent donc porter sur tout. Si vous êtes par exemple adepte des pierres (lithothérapie), vous pouvez demander à votre instrument (pendule, baguette…) quelle pierre est la plus adaptée à la situation que vous vivez. Si vous accompagnez les personnes à travers les fleurs de Bach par exemple, vous allez pouvoir vous fabriquer un cadran spécifique avec l’ensemble des fleurs disponible et choisir celles qui sont les plus adaptées pour la personne. Vous travaillez sur du développement personnel, vous pouvez créer des cadrans pour connaître la meilleure médecine naturelle à préconiser pour la personne. Vous travailler dans le reclassement professionnel, vous pouvez également mettre en place les meilleures compétences détenues par la personne… On voit très bien, à travers ces quelques exemples, que le champ d’action de la radiesthésie n’a de limite que votre imagination, avec un bémol sur les questions qui sont personnelles car notre conscient va plus facilement « orienter » une réponse en fonction de nos envies.

Quels outils choisir ?

La dernière question, que l’on cherche de l’eau ou que l’on souhaite chercher une réponse sur le sujet de son choix, consiste à savoir quel type de matériel choisir. En effet, il existe pléthore d’instruments, de la baguette de sourcier traditionnelle, la baguette en L, l’Antenne de Lécher, les pendules (et il en existe plus de 4.000 différents), le lobbe Hartmann… Il n’existe pas de réponse unique. Ce que je conseille dans les formations de radiesthésie dispensées au Centre de Formation de l’Ermitage c’est d’aller vers celui qui nous parle le plus en fonction du travail que l’on est en train d’effectuer. Une baguette de sourcier sur un plan, cela va être très difficile. L’utilisation du pendule est alors plus facile. Une baguette en L va être par exemple plus pratique pour compter. Le lobbe Hartmann pour découvrir les réseaux Hartmann lorsque l’on fait de la géobiologie

En conclusion, le travail du sourcier est une sous-catégorie du travail de radiesthésiste. Mais le vrai sourcier aujourd’hui complète son travail d’exploration par un travail de forage afin d’apporter l’eau au propriétaire du terrain.


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