C’est une question d’autant plus importante que dans la pratique, il arrive régulièrement d’entendre des personnes agir de différentes façons avec des résultats plus ou moins significatifs. Par résultats significatif, on entend le fait que les habitants de la maison se sentent soit mieux (l’objectif de l’intervention d’un « bon » géobiologue), soit ne voient pas de différence (après intervention d’un « mauvais » géobiologue). Le prix de l’intervention n’ayant pas trait au résultat.

Les deux grandes écoles en géobiologie
Il existe deux grandes écoles de pratique de la géobiologie. Dans tous les cas, chaque géobiologue parle des mêmes éléments, étudiés par ailleurs dans les autres articles de ce blog ou que vous pouvez trouver dans différents ouvrages sur le sujet et qui concernent, sans limitation : les cheminées cosmo-telluriques, les vortex, les cours d’eau, les réseaux (Hartmann, Curry)…
L’évitement
Une partie de la communauté des géobiologues met en œuvre la stratégie de l’évitement. Il s’agit d’aménager sa maison (notamment les endroits où l’on place son lit et son canapé) en dehors des points géo pathogène. Le travail à réaliser est alors très minutieux. Il convient de procéder à l’édification d’un plan très précis de la maison, à l’échelle, sur lequel vont être reportés « au millimètre près » les divers éléments décrits précédemment. Ce travail nécessite un temps d’intervention très long (quelques heures à une journée entière) afin de préciser l’emplacement de ces éléments. Cela explique le coût d’intervention souvent conséquent (plusieurs centaines d’euros – plus près des 500-700 euros) lié au nombre d’heures passées à procéder à ce travail.
Une fois que ce travail de cartographie est terminé, le géobiologue va indiquer aux habitants de la maison « d’éviter » les endroits mentionnés, c’est-à-dire de déplacer un certain nombre d’objets (lits, canapé, table de cuisine…) en fonction des éléments découverts. Le plan constitue par la suite pour les propriétaire leur véritable « acte de propriété » de la connaissance du sous-sol et d’un aménagement à réaliser.

Il convient de signaler comme bémol sur cette technique que si cette information n’est pas communiquée aux prochains acheteurs, tout le travail réalisé ne sert à rien et qu’il est certaines fois très difficile de déplacer le lit dans une chambre du fait de sa superficie, son agencement et du placement des prises électriques (on déplace alors le lit pour « subir » les perturbations électromagnétiques avec le choix d’un mal pour un autre).
L’agissement
La seconde école consiste à agir sur les éléments pathogènes trouvés dans la maison. Le travail initial de cartographie est toujours le même, mais il ne s’agit pas ici d’aller procéder à l’édification d’un plan à l’échelle. Il s’agit au contraire uniquement d’aller trouver les éléments pathogènes et de travailler dessus pour en éliminer les effets. Il existe alors une multitude d’approches pour parer les effets négatifs des cheminées et autres cours d’eau. En voici ci-dessous quelques exemples qui ne sont pas limitatifs :
Intervention énergétique
Cette approche, enseignée au sein du Centre de Formation de l’Ermitage